Élue pour la dixième année consécutive 1ère Banque des PME, Banque Populaire explique son succès par une vision populaire et entrepreneuriale de la réussite lui permettant d’accompagner ceux qui osent relever les challenges, rebondir et innover.
Banque Populaire met en lumière l’aptitude des entrepreneurs à se réinventer pour faire face à une concurrence grandissante, et démontre sa capacité de projection et de prise de risques à les accompagner dans ce cap parfois difficile à franchir via sa nouvelle campagne signée Marcel : Oser prendre un virage pour réussir.
Le film réalisé par Antoine Besse (Big) met en avant la relation entre Banque Populaire et un entrepreneur, un shaper (artisan fabricant de planches de surf) qui souhaite innover pour faire prendre un nouveau virage à son entreprise. Son idée : un système de LED, installé sur les combinaisons et les planches de surf, qui permet de surfer la nuit. Une idée lumineuse qui va plus que convaincre la conseillère, et se révèle fort cinématographique avec les prouesses nocturnes des surfeurs Vincent Duvignac, Champion du Monde des Nations ISA, Maud Le Car, Vice-Championne d’Europe 2013, Edouard Delpero, Champion du Monde Longboard par équipe 2019, et Naum Ildefonse, surfeur professionnel.
Un film, où se retrouvent l’univers et la maîtrise du réalisateur, soutenu par la réorchestration de « Free » de Stevie Wonder, à la fois planante, aquatique puis poignante et rythmée.
Le tournage était aussi une vraie prise de risque, car passer du storyboard à la réalité des images de surf demandait d’anticiper et de s’adapter au jour le jour aux conditions météo, de capturer les images dans un timing très serré pour garder cette ambiance lumineuse (lever ou coucher du soleil), d’orchestrer les prises de vues à l’eau, dans les airs, grâce aux drones, et d’avoir des surfeurs pros au rendez-vous. Xavier Le Boullenger, directeur de création : « Il fallait préparer ce tournage au millimètre, et réussir à lâcher prise ensuite car il n’était pas possible d’avoir de retour en direct pour voir les images que nous shootions, ce qui n’est pas commun dans la pub ».
D’autre part pour les besoins du film, un jeune shaper de la région Aquitaine, a dû créer ces planches de surf lumineuses en moins d’un mois et les rendre opérationnelles pour la publicité. Quand la réalité rejoint la fiction…
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